24 mars 2014

Une histoire à vieillir debout : prix Chronos

Dans le cadre du prix Chronos de littérature jeunesse, des collégiens m'écrivent pour me poser des questions autour d'Une histoire à vieillir debout.



En combien de temps avez-vous écrit ce livre ?
J’ai toujours beaucoup de mal à répondre à cette question car je n’écris pas un roman d’une seule traite. Je le commence puis le laisse de côté. Je reprends, continue, recommence, termine ou non… Puis je le laisse de nouveau de côté. J’aime bien laisser reposer parce qu’ainsi j’oublie ce que j’écris et quand je reprends, je vois mieux ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.
De même, j’écris plusieurs histoires en même temps. Elles sont alors sans doute du « même bois », elles résonnent entre elles.
Je pense que l’écriture d’ « Une histoire à vieillir debout » s’est étalée sur deux ans. Par intermittence. J’ai écrit ce roman parallèlement à « L’amer au cœur » et « La valise qui ne voulait pas parler ».
  



D'où vous est venue l'expression "Le cimetière des éléphants" ?
Le « cimetière des éléphants » est un mythe qui raconte que les éléphants, sentant qu’ils vont mourir, se rendent dans un lieu spécifique. Les zoologues affirment que c’est faux. Pourtant cette idée me plait et je la trouvais très adaptée à mon grand-père : il veut mourir dans un lieu choisi.

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