Revue de presse ROMANS


Plus près de nos rêves (roman jeunesse aux éditions Rageot)

Amandine is reading "Carole Prieur a su mener ses trois personnages à vivre une histoire merveilleuse malgré leurs différences. Elle nous donne une jolie leçon de vie en nous prouvant que le handicap peut être une force et un moteur dans la vie. Le handicap n’est pas perçu de manière péjorative et triste dans ce livre au contraire on en rigole ! Carole Prieur a eu le don de nous faire rire en partageant des expressions complètement loufoques pour palier cette différence."

Songe d'une nuit d'été "C’est un joli regard que Carole Prieur apporte sur le handicap. On assiste à l’émancipation de Gabriel qui sort, enfin, de la bulle protectrice où ses parents l’avaient placé... Carole Prieur a une plume douce et agréable à lire."


Tempsdemots
"J’ai beaucoup aimé cette histoire et sa douceur qui a tout pour plaire aux adolescents. J’ai trouvé aussi que le roman véhiculait des pensées intelligentes et importantes à garder en tête. En bref un roman adolescent qui propose une belle réflexion sur la volonté et le courage nécessaire pour réaliser ses rêves."

Les lectures d'Agathe  "J’ai très rapidement été attachée aux personnages qui forment un trio très touchant et qui fonctionne très bien. Aucun ne prend plus de place que les autres, pas même Céliane qui est la narratrice de l’histoire. La plume de l’auteure (ou autrice ?!) est très fluide et vraiment agréable. Le rythme est bon, les chapitres s’enchaînent avec dynamisme, sans pour aller trop vite. J’ai beaucoup aimé cette lecture."

La bibliothèque d'élé
"Ce livre se lit tout seul en une heure ou deux, et la plume de l’auteure est très attachante."

Accrocdeslivres "Dès les premières pages j’ai été happée par ma lecture, il faut dire que la première ligne du roman ne peut qu’attiser notre curiosité et nous donner envie d’en savoir plus. Le ton est plutôt léger même si les sujets abordés ne le sont pas. Évidemment, il est beaucoup question du handicap et celui de Gabriel régit toute la famille de Céliane." Le gout du risque"J’ai réellement beaucoup aimé ce livre d’une finesse incroyable et qui nous prouve une fois de plus qu’avec un peu d’effort et de patience, peut importe qui nous sommes, tout peut réussir ! Ce roman est un très beau message d’espoir !" Leslecturesdesteph
"L’histoire est passionnante, captivante et je trouve que l’auteur a su abordé des sujets compliqués comme le handicap de manière assez légère. Le personnage de Gabriel va faire de son handicap une force et c’est pour ça que l’on va l’apprécier. C’est un beau combat pour se faire accepter de tous, j’ai trouvé ça vraiment touchant."

Souslefeuillage
"J'ai adoré ce roman parce que je ne m'attendais pas à autant apprécier la délicatesse et la sensibilité de l'écriture de Carole Prieur. Et lorsque j'ai lu le premier poème de Céliane, j'avoue que j'étais conquise, par mes larmes versées, par la justesse qui s'en dégage, par la beauté des mots, puissants comme des armes qui vous touchent en plein coeur.La moitié du travail était déjà fait et je me suis passionnée pour ce trio atypique"

Et aussi :Takakirsa
Boumabib
Leslecturesdecaro
Aupaysdelire
Livreaddict
Lecoinlectured'Arsène

L'émission Bibliothèque bleue de France Bleue a consacré une chronique au livre.



La valise qui ne voulait pas parler (roman jeunesse aux éditions Le verger des Hespérides)


La joie par les livres - Revue de la BNF


"J’ai trouvé que l’idée de départ de La Valise qui ne voulait pas parler était très sympathique et prenante. Au début, la découverte de la valise et le meurtre, laisse supposer qu’on va lire un roman policier et puis finalement c’est une belle aventure humaine avec du suspense que l’on découvre ! {...} cette aventure dans Brest et ses environs, vécue par Malo et Stéphanie est entraînante et passionnante. On progresse dans le récit sans savoir quelle sera l’issue finale. Malo retrouvera t-il son père ? Comment se passera leur rencontre ? Cette aventure-fugue sonne vraie (même si un brin utopique) et elle devrait séduire des adolescents.  De plus, les thématiques retenues dans La Valise qui ne voulait pas parler, devraient trouver un écho auprès de certains lecteurs qui s’identifieront sans difficulté aux sentiments du garçon." lirado.com

"Malo a quatorze ans, et son père, marin, est parti il y a quatre ans. Quatre années pendant lesquelles la mère guette son retour et Malo se pose des questions. Malo est un taiseux, il fait partie d'une petite bande de copains, des garçons et une fille, Stéphanie, laquelle parle pour deux, pour que Malo « n'oublie pas les mots ». Elle a des yeux verts magnifiques et est toujours là pour le soutenir et l'accompagner. L'adolescent a découvert dans le local à poubelles une valise, intrigué, il espère y trouver des nouvelles de son père. La valise va-t-elle livrer son secret ? Et qui est cet étranger retrouvé mort ? Le père de Malo est-il en fuite ? Énigme, quête du père, amour naissant... Un beau roman, facile à lire." lajoieparleslivres.bnf.fr

Une histoire à vieillir debout (roman jeunesse aux éditions Oskar)
vivrelire.ca  "Une histoire à vieillir debout" je vous préviens tout de suite, je l’ai lu sans aucun recul, ni objectivité, ni analyse critique. Je l’ai lu plutôt avec mes tripes. Si ! Si ! Il y a des récits qui vous happent, qui vous enserrent, qui vous bouleversent. Et pourtant, l’histoire terminée, j’ai bien eu du mal à comprendre, à analyser. On ne sait pourquoi certains récits vous touchent à ce point. Ainsi va la vie !" 
L'ouvrelivres "Et le roman de nous proposer un joli portrait croisé des deux bouts de la chaîne : Lou, et ses premières fois, curieuse, soucieuse, pleine d'interrogations, un peu à la découverte de son moi profond, et son grand-père, au crépuscule de sa vie, avec son lot de dernières fois, ses trouilles, son amertume, son refus d'être parqué dans un mouroir et sa ferme intention de choisir où et quand il passera l'arme à gauche. J'ai terminé mon livre en soupirant bien fort, signe que j'ai passé un très bon moment..." 

blogclarabel  "Il ne faut pas croire que le beau roman de Carole Prieur n'est qu'un récit sur la famille et les liens difficiles qui unissent les gens, non il va bien au-delà... Le livre de Carole Prieur n'est pas non plus qu'une histoire traitant de la vieillesse et de la solitude même quand on fait partie d'une famille. Elle parle de la dépendance, de la peur de ne plus pouvoir être capable de mener sa vie comme on le souhaite... derrière tout cela Carole Prieur nous révèle aussi d’une très belle histoire d’amour en filigrane et c’est une des grandes forces de ce livre. L’amour, présent, passé, ou à venir, touche tous les personnages de son livre et elle le fait avec beaucoup de tendresse et de sensibilité. L’auteur donne la parole à toutes les générations de cette famille, pour qu’elles puissent s’exprimer sur ce sentiment capable aussi bien de détruire que de construire. Une belle écriture, fluide, drôle et un sens du dialogue assez passionnant. Secrets, non-dits, espoirs, envies, passions. C’est un beau récit, c’est un beau voyage dans lequel nous entraîne Lou. À ne pas manquer." 
wmaker.net  "Un récit intergénérationnel intelligent, touchant et résolument positif !""A l’heure où l’évolution démographique a fait de la vieillesse un sujet de société aigu, Carole Prieur ose un beau et fin roman sur les relations entre générations, et aussi sur le fait d’être parent, adulte, responsable à tout âge de la vie."
lirado.com
"La liberté n'a pas d'âge.Le grand-père de Lou a fugué de sa maison de retraite. Et s'il n'était pas si fou que sa fille le dit? Simplement avide de liberté, de changements, comme peut l'être Lou, sa petite fille, jeune ado qui ne supporte plus la pression à la maison. 
Les pensées du grand-père et de la jeune fille s'alternent décriptant avec sensibilité et surtout une grande perspicacité les humeurs de chacune des générations.
"Carole Prieur nous a fait découvrir ses personnages attachants en 2011 sous la forme d'une pièce de théâtre. Avec cette adaptation en roman aux éditions Oskar qui se sont spécialisées sur les fictions à vocation éducative, elle touche un plus large public, pour notre plus grand bonheur! Une rencontre à faire dès 12 ans"

Les pensées du grand-père et de la jeune fille s'alternent décriptant avec sensibilité et surtout une grande perspicacité les humeurs de chacune des générations.
"Carole Prieur nous a fait découvrir ses personnages attachants en 2011 sous la forme d'une pièce de théâtre. Avec cette adaptation en roman aux éditions Oskar qui se sont spécialisées sur les fictions à vocation éducative, elle touche un plus large public, pour notre plus grand bonheur! Une rencontre à faire dès 12 ans"

"Carole Prieur nous a fait découvrir ses personnages attachants en 2011 sous la forme d'une pièce de théâtre. Avec cette adaptation en roman aux éditions Oskar qui se sont spécialisées sur les fictions à vocation éducative, elle touche un plus large public, pour notre plus grand bonheur! Une rencontre à faire dès 12 ans"
"Une Histoire à vieillir debout de Carole Prieur, un roman facile à lire qui expose avec justesse la rencontre atypique entre deux générations (voir même trois avec la mère de Lou). Un roman qui se lit d'une traite et qui résonne dans nos pensées en écho à ce que nous pouvons voir ou vivre chaque jour : des jeunes qui aimeraient un peu plus respirer et des vieux qui ne supportent pas les maisons de retraite dans lesquelles on les laisse juste mourir. Une Histoire à vieillir debout fait réfléchir sur cette situation et nous secoue et remue un peu." 
 "Avec une finesse admirable, l'auteure établit de superbes parallèles entre les deux adolescentes et le vieil homme, dont les émotions et les motivations sont au fond très similaires puisqu'ils sont tous trois en quête d'un sens à donner à leur vie (ou ce qu'il en reste). Ce qui est l'occasion de profondes réflexions sur l'existence, sur le temps qui passe, sur la vieillesse, sur les relations intergénérationnelles et sur les séjours effectués dans des centres d'accueil où les vieillards sont infantilisés et se voient dépossédés de leur libre arbitre." sdm.qc.ca
"J'ai adoré ce livre! J'en suis tombée amoureuse. J'ai apprécié que l'on soit en même temps dans le présent et l'avenir avec le récit de Lou et dans le passé avec le récit du grand-père (en italique à la fin de chaque chapitre). J'ai été touchée au plus profond de moi par ce grand-père placé en maison de retraite malgré lui qui peu à peu prend une place de "vieux", qui peu à peu devient ce que les autres attendent de lui et qui par un sursaut de vie, prend la fuite, devient un "éléphant", entreprend ce qui serait son dernier voyage. Et Lou pleine de vie, à qui l'avenir tend les bras, qui s'épanouie sous nos yeux. Il faut faire tomber les barrières, dévoiler les secrets, afin de repartir et se tourner vers demain. A lire d'urgence!!!"
parfumsdelivres

"Deux balades, celle d’un début de vie et l’autre qui concerne la fin de vie, ces choses que l’on fera une dernière fois. Un texte tout en sensibilité."
mediathequedegenay.com

ricochet-jeunes.org

heuresdefantasia.canalblog.com

mediatheques-plainecentrale94.fr


"La fugue du grand-père, puis celle de Lou partie, avec son amie Najette, à sa recherche sont de formidables prétextes pour aborder une profonde réflexion sur les relations entre les générations. Ce récit à deux voix aborde la difficulté des rapports mère - fille / fille-père / petite fille - grand-père. Aux multiples questions de Lou à l'aube de sa vie d'adulte (sa sexualité, ses préjugés, ses relations aux autres) répondent les pensées du grand-père au crépuscule de son existence (son amour sacrifié, ses absences, ses cachotteries). Alors qu'ils ne se connaissent presque pas, tous deux ont un point commun : cette terrible envie de s'évader. Alors que l'un fuit "une prison dorée", l'autre veut se soustraire à une atmosphère familiale devenue lourde. Bien campés, les personnages appellent l'empathie. Et si la fin du roman n'évite pas l'écueil du cliché, il n'en demeure pas moins que cette lecture, une fois terminée, résonne encore en nous." choisirunlivre.com
"Carole Prieur écrit un très joli roman en miroir : une première fugue pour des jeunes adolescentes que les mères disent en crise, une dernière fugue pour un vieil homme dont on dit qu'il a perdu la tête. Deux fugues en liberté majeure, de celles qui marquent l'existence, qui donnent chair à des personnalités en construction, qui sonnent comme une conclusion vraiment choisie. Et les personnages de l'auteur s'attachent les uns aux autres comme le lecteur, dès 10 ans, à eux. Lou et Najette gagnent en épaisseur, en caractère, lors de cette marche aléatoire qui les fait grandir et les change à jamais. Le titre est à l'image du livre : un bel hommage au temps qui passe, pour respecter ses envies et celles des autres... jusqu'au bout." enfantipages.blog
 
"Lou est une adolescente qui vit seule avec sa mère. Un jour elle la découvre dans tous ses états, le grand-père a fait une fugue, il s’est échappé de la maison de retraite ! Il a fugué car il ne supportait pas cette “prison dorée”. Lou décide de partir à sa recherche à l’insu de sa mère. Elle part avec une camarade qu’elle va apprendre à mieux connaître durant leur périple. Carole Prieur  joue sur les sentiments et la rencontre entre les générations; Mère – fille / Grand-père – petite fille. L’auteur a une approche très fine des relations entre ces générations par rapport à ce que chacun des personnages peut vivre et ressentir à ce moment de son existence. Ce parcours initiatique est beau, bien écrit..."  lecturejeunesse83


"Carole Prieur nous livre un premier roman touchant. La fugue du grand père de Lou qui part à la recherche de son passé va permettre à la jeune fille de mûrir et de modifier ses rapports aux autres et à sa mère en particulier. Porté par l'écriture claire et sensible de l'auteur, le lecteur se laisse entraîner et partage avec plaisir l'évolution du personnage principal."prixintercollege.over-blog.com

"Le grand-père de Lou s'est sauvé de sa maison de retraite et la mère de Lou est très inquiète. La tension monte. Un soir Lou et sa voisine, Najette, décident de partir à la recherche du grand-père et fuguent à leur tour. Le récit de l'aventure des deux adolescentes alterne avec les réflexions du papy sur son ressenti face à la vieillesse. On suit son cheminement en parallèle. Les deux jeunes filles sont sympathiques et débrouillardes, elles s'intérrogent sur leurs relations avec leurs propres parents. « Choisir est la dernière des libertés », voilà le fil rouge qui traverse cette belle histoire." lajoieparleslivres.bnf.fr 

Le Baron (première lecture - éditions Thot)
 
Chronique parue sur le site "choisirunlivre"
Sujet : Rêvant lui-même de découvrir d'autres horizons, Amir est persuadé que le sans domicile fixe, dit le Baron, attend d'avoir suffisamment d'argent pour partir et quitter ainsi l'abribus qui lui tient lieu de maison. Aussi, chaque semaine, le petit garçon lui donne-t-il une partie de son argent de poche, puis de la nourriture. Un jour, il lui apporte un morceau de carton et un feutre. En retour, il reçoit un dessin et une ébauche de sourire. Les dispositions d'artiste du Baron ne passent pas inaperçues dans le quartier et bientôt sa vie change...

Commentaire : Ancré dans la réalité de par les personnages mis en scène, ce récit illustre ce qu'un regard amical, assorti d'une grande patience et d'une grande discrétion peut apporter à autrui. C'est à la manière du "Petit Prince" de Saint-Exupéry qu'Amir apprivoise le Baron. Semaine après semaine, il lui apporte quelque chose, formulant toujours la même phrase. Respect et tendresse émanent de ce texte soigné, accompagné d'illustrations donnant l'impression que les personnages sont tout droit sortis d'un conte. Couverture souple, cahiers agrafés.

Chronique parue sur le site crl-franche-comte.fr
Comment ramener à la vie un vieil homme que la vie a rejeté à quai? Passant ses journées dans un abribus, « Le Baron » au regard vide ne communique plus que par grognements. Convaincu que le Baron n'attend que les derniers euros nécessaires à un grand voyage, le jeune Amir décide de l'aider dans ce projet. À la manière du Petit Prince, Amir va amener peu à peu le Baron à reprendre goût à la vie. Un récit humaniste dans lequel le dessin devient langage.

Chronique parue sur le site "enfantipages" par Anne Loyer
Carole Prieur livre une histoire émouvante entre deux personnages que tout sépare. L’âge, la condition sociale… autant de différences qu’ils vont dépasser pour nourrir l’espoir et l’envie de vivre… le récit est édifiant et le message très poétique.